Pour les entrainements, merci d’arriver 10 minutes avant le début du cours afin de se changer dans les vestiaires.
Les parents habillent leurs enfants, le lien du pantalon doit être fait et la ceinture attachée comme indiqué dans la vidéo suivante :
Prévoir également une bouteille d’eau et des tongs lors des déplacements hors du tatami. Les plus jeunes doivent passer par les toilettes avant le cours de judo.
Les parents doivent protéger les verrues et plaies avec des pansements entourés d’une bande collante genre élatoplasme pour ne pas que le pansement s’enlève, un pansement seul ne tient jamais. Ce n’est pas au professeur de le faire
Le dojo est un lieu d’étude, de travail et d’échanges. Une attitude empreinte de
sérieux et de respect est nécessaire au progrès. Tout judoka doit avoir présent à
l’esprit les recommandations suivantes qui conditionnent le bien-être de chacun.
Respect des lieux
L’arrivée et le départ du dojo sont marqués par le salut. Il convient de saluer chaque fois
que l’on monte ou descend du tatami. Le dojo sera laissé en ordre et dans le plus grand
état de propreté (y compris les vestiaires et sanitaires).
Respect des personnes
Au début et en fin de séance, élèves et professeurs se saluent (zarei). Ils saluent également
le côté kamiza (place d’honneur). Il faut saluer son partenaire avant et après chaque
exercice. L’autorisation du professeur est nécessaire pour quitter le tatami.
Entraide et solidarité
Les plus gradés ont le devoir de servir, d’aider les moins avancés. Il convient d’écouter
leurs conseils avec attention. Il faut aider ses partenaires à progresser et ne pas être pour
eux une cause de gène ou de désagrément (taijin kyofusho).
Politesse
Il est important de se comporter avec discrétion et donc de ne pas parler à haute voix.
Lorsque l’on ne pratique pas, il faut être attentif à l’enseignement donné. Il convient de ne
se dévêtir que dans les vestiaires.
Ponctualité et assiduité
Il faut être ponctuel et respecter les horaires de début et de fin de cours, si l’on est en
retard, il est courtois se s’en excuser auprès du professeur et d’attendre son accord avant
de monter sur le tatami. La persévérance et l’assiduité sont nécessaires à tout progrès
sérieux.
Hygiène
Avoir un corps et des vêtement propres c’est se respecter et respecter les autres. Les
ongles doivent être coupés courts. Il ne faut pas marcher pieds nus hors du tatami.
Une bonne hygiène de vie est nécessaire à l’harmonie de l’être humain.
Convivialité et amitié
La courtoisie et la convivialité favorisent l’éclosion de liens amicaux privilégiés. Ce qui
constitue un des buts du judo.
Le judo est un sport, il doit donc être pratiqué dans la joie.
C’est aussi une admirable école de vie
Le Judo est un moyen d’éducation. Conçu par Jigoro Kano, le Fondateur du Judo, il s’appuie sur l’étude et la pratique d’un système d’attaque et de défense, issu de différents systèmes de combat traditionnels japonais (jujitsu) qui privilégient les techniques de projection et de contrôle.
Une pratique sincère et régulière, prolongée dans le temps, guidée par les principes essentiels du judo et le respect de ses fondements, favorise l’accession à l’autonomie, à la maîtrise de soi, au respect des autres, à une meilleure appréhension du réel. C’est la valeur éducative du judo qui est transcrite par l’idéogramme do/michi (cheminement, voie, domaine d’approfondissement) du mot judo.
Les principes essentiels
Ju – L’adaptation
Le premier principe est celui de la souplesse, de la non-résistance, de l’adaptation. Il est si étroitement lié à la discipline qui lui donne son nom : faire du judo, c’est s’engager dans la voie (do/michi) de l’application du principe de l’adaptation (JU). Il invite à s’élever dans la pratique au-delà de la seule opposition des forces musculaires, pour parvenir à une véritable maîtrise des lois subtiles du mouvement, du rythme, de l’équilibre, des forces. Ju est une attitude.
Seiryoku Zenyo – Le meilleur emploi de l’énergie
Le second principe est la recherche du meilleur emploi possible des énergies physiques et mentales, intégrant le premier principe et le dépassant. Il invite à l’application de la solution la plus pertinente à tout problème : agir juste, au bon moment, avec un parfait contrôle de l’énergie employée, utiliser la force et les intentions du partenaire contre lui-même… Seiryoku Zenyo est un idéal.
Jita Yuwa Kyoei – La prospérité mutuelle par l’union des forces
Le troisième principe est l’entente harmonieuse, la prospérité mutuelle par l’union de sa propre force et de celle des autres. Découlant de l’application sincère des deux premiers principes, il suggère que la présence de partenaires et celle du groupe sont nécessaires et bénéfiques à la progression de chacun. En judo, les progrès individuels passent par l’entraide et les concessions mutuelles. Jita Juwa Kyosei est une prise de conscience.
Les fondements du Judo
La pratique du judo nécessite un ensemble d’éléments essentiels et indissociables.
Le Dojo
C’est le lieu de la pratique. Espace d’étude et de travail, il isole les pratiquants de l’agitation extérieure pour favoriser la concentration et la vigilance, permet l’organisation de la séance de judo. Au-delà de sa simple existence physique, le dojo constitue aussi un lien mental et affectif qui unit les pratiquants.
La tenue
Le Judogi blanc du judoka est simple et résistante. Identique pour tous, il souligne l’égalité devant l’effort dans le processus permanent de l’apprentissage.
Le partenaire
Le Judo se pratique à deux partenaires. Le judoka tient compte de l’autre et s’adapte à la diversité de chacun. Il respecte l’esprit des différents exercices.
La saisie
La pratique du judo demande une saisie entre les deux judokas. Elle joue un rôle prépondérant. C’est un vecteur de perception de sensation et de transmission des forces utiles pour contrôler, déséquilibrer ou projeter. La saisie est évolutive, elle s’adapte aux partenaires et aux circonstances.
Les règles de conduite
Le judoka accepte les règles explicites du dojo : la ponctualité, la propreté, l’écoute, le contrôle de ses actes et de ses paroles. Il s’efforce d’en respecter les règles implicites : l’engagement et la constance dans l’effort, l’exigence personnelle.
Le professeur
Il est le garant du processus de progression dans lequel il est lui-même impliqué. Il guide l’apprentissage vers la maîtrise technique en s’appuyant sur les principes essentiels et les fondements du judo. Le professeur est un exemple.
Le salut
Le salut est la marque formelle du respect du judoka pour le professeur, pour le partenaire, pour le lieu de pratique, pour l’espace de combat. Il ouvre et il ferme chaque phase essentielle de la pratique.
La Chute
Aucune projection de judo n’est possible sans un judoka pour l’effectuer et un autre pour la subir. L’acceptation et la maîtrise de la chute sont nécessaires au judoka pour garantir son intégrité corporelle mais aussi ses progrès futurs. La chute est une épreuve mentale aussi bien que physique.
Les bases techniques
L’efficacité du judoka se construit sur l’étude approfondie et la maîtrise progressive de postures, de déplacements, d’actions de création et d’accompagnement du déséquilibre du partenaire, de formes techniques fondamentales, de facteurs dynamiques d’exécution. Cette base commune de connaissance et d’habilité donne à chacun les moyens d’élaborer par la suite sa propre expression du judo.
Le Randori
Le Randori permet la rencontre de deux judokas dans une confrontation dont la victoire ou la défaite n’est pas l’enjeu. L’expérience répétée du Randori ouvre à l’acquisition du relâchement physique et de la disponibilité mentale dans le jeu d’opposition, à la mise en application dynamique des techniques acquises, à l’approfondissement de la perception dans l’échange avec le partenaire, à la compréhension et à la maîtrise des différents principes d’attaque et de défense. Il est pratiqué dans une perspective de progression.
Le Shiai
Le Shiai oppose deux judokas dans une confrontation dont la victoire ou la défaite est l’enjeu. Il se livre contre un autre judoka, connu ou inconnu, en fonction de règles qui permet de déterminer le vainqueur. Il n’est pas l’aboutissement mais un aspect essentiel de la pratique du judo. L’expérience répétée du Chiai ouvre à la dimension tactique et psychologique du combat. Le Chiai est une épreuve de vérité, un test mutuel d’ordre technique, physique et mental.
Le Kata
Le Kata est un procédé traditionnel de transmission des principes essentiels du judo. Il consiste à mémoriser un ensemble de techniques fixé historiquement et à exécuter cet ensemble de façon précise, en harmonie avec le partenaire. La forme bien maîtrisée doit permettre l’expression sincère du geste de combat, l’engagement total sur le plan mental et physique des exécutants. Outil de stabilité et de permanence, le Kata est un lien entre tous les pratiquants d’aujourd’hui et ceux qui les ont précédés.
Le Grade
Le Grade symbolise une progression globale du judoka sur le plan mental (Shin), technique (Gi) et physique (Tai), donc la ceinture est la marque apparente. La ceinture noire manifeste l’accession à un premier niveau significatif dans cette progression. Le grade est aussi le symbole du l’unité des judokas, formés par un travail commun, par des épreuves communes. Le judoka doit poursuivre sa formation vers le grade suivant.
LES VALEURS COMPLÉMENTAIRES
Le meilleur emploi de l’énergie
Dans sa pratique le judoka est à la recherche du meilleur emploi de l’énergie physique et mentale. Ce principe suggère l’application à tout problème de la solution la plus pertinente : agir juste au bon moment, utiliser la force et les intentions du partenaire contre lui-même. Il incite à une recherche constante et dynamique de perfection.
Entraide et Prospérité mutuelle
En Judo, les progrès individuels passent par l’entraide et par l’union de notre force et de celle des autres. La présence du partenaire, du groupe est nécessaire et bénéfique à la progression de chacun.
Le passage de grade est une évaluation technique et des connaissances développées pendant la saison. La remise du grade supérieur n’est pas automatique.
Celle-ci dépend de l’évaluation, de l’âge du judoka et de son comportement pendant les séances de judo. L’acte de présence est important comme l’application sur la saison.
Un grade supérieur récompense une progression technique, mental et physique.
Esprit est primordial.
Parfois pour le bien du judoka, pour une obligation de progrès technique, de comportement et pour plus assiduité la remise de grade est ajournée pour que celui-ci aille puiser des ressources qui le feront progresser et grandir.
C’est un cheminement, chacun suit sa propre voie.
Appliquant les principes essentiels du judo : adaptation, meilleur emploi de l’énergie, entraide et prospérité mutuelle, le NAGE NO KATA met en évidence les bases techniques du judo debout permettant à Tori et Uke de s’exprimer et de se perfectionner dans plusieurs domaines, et notamment dans :
– l’attitude et les positions fondamentales (posture, saisie)
– les déplacements (axiaux, latéraux, circulaires)
– la dynamique d’exécution (continuité de l’action, le rythme)
– la construction d’attaque (kuzushi, tsukuri, gake)
– l’efficacité technique (variété technique à droite et à gauche)
– l’interaction entre les partenaires (rôle de tori et rôle de uke)
– le contrôle de la chute (maitrise de son corps, non appréhension de la chute)
Le nage no kata comprend 5 séries de 3 techniques effectuées chacune à droite et à gauche.
LES DEPLACEMENTS
Excepté lorsque uke attaque en frappant, chaque technique est faite en 3 temps.
– au premier temps l’initiative de saisie est prise par uke, tori appliquant le principe de céder
– au deuxième temps, tori assure un contrôle plus complet, il débute une mise en déséquilibre
– au troisième temps, tori poursuit cette mise en déséquilibre, en mettant uke dans la position idéale pour le projeter par la technique prévue
afin de conserver un bon équilibre du corps, les déplacements s’effectuent en tsugi ashi (un pied rattrape l’autre sans jamais le dépasser) ; ils doivent être continus et fluides.
LES SAISIES
La prise du kumi kata est fondamentale, main droite au revers, main gauche à la manche (saisie inversée à gauche) ; sauf précision, ce sera toujours cette saisie qui sera appliquée.
LES ROLES DE TORI ET DE UKE
A aucun moment uke ne doit aider ou anticiper l’action de tori, chacun ayant un rôle sincère pour mettre en évidence les principes du kata
tori et uke doivent assurer un contrôle permanent entre enx dans l’exécution des différentes phases du kata.
LES REPLACEMENTS
Après la projection, uke se relève naturellement dans le sens de la chute, il ajuste le placement par rapport au joseki et au centre du tapis, tori ajuste la distance entre uke et lui
dans les déplacements, les deux partenaires se tournent du côté du joseki.
Qu’est-ce que le Gokyo Kodokan ?
Traduction de Gokyo no waza « Les cinq cours d’instruction
Le tora no maki (Le rouleau du tigre) de l’étude des techniques de projection (kodokan 1955, p72)
Créé par Yamashita Yoshitsugu 8e, Nagaoka Hideichi 8e , Mifune kyuzo 6e dan, Oda join 4e dan, murakami kunio 5e dan et Hashimoto Masajiro ? (9e dan en 1945)
Le secret du Gokyo :
Le secret ésotérique (ensemble de mouvements et de doctrines relevant d’un enseignement caché, réservés à un petit nombre d’initié) a été introduit dans le Gokyo de 1920 lors de sa reconstruction par Jigorô Kanô assistés des principaux maîtres de judo de l’époque. Il ne se trouvait pas dans le Gokyo originel.
Le fondement technique du Judo est fondé sur le Gokyo (cinq principes) correspondant aux cinq éléments à savoir l’eau, le bois, le feu, la terre et le métal se combinant avec les Huit Énergies Célestes (Huit Trigrammes). Suivant cette tradition, les cinq éléments se manifestent sur terre tandis que les Huit Trigrammes proviennent de l’influence céleste. Le Gokyo originel du Kôdôkan comprenait donc quarante techniques permettant tout simplement de relier l’Homme au Ciel (Ten) et à la Terre (Chi). Le principe Tenchi (Ciel/Terre), développé par Jigorô Kanô, agissant dans l’Homme au travers des techniques corporelles utiles était donc omniprésent dans le Judo des origines. Ce principe, considéré comme ésotérique (Himitsu) donna, par la suite, naissance au concept Shin (valeur morale, esprit, caractère correspondant au Ciel) Ghi (valeur technique correspondant à l’Homme) et Tai (valeur corporelle correspondant à la Terre) développé par le Collège des Ceintures Noires. Ce concept donna, enfin, naissance à l’autre maxime essentielle du Judo : Jita Kyoei (Entraide (ou respect) et Prospérité mutuelle). Le Ciel, l’Homme, la Terre agissent de concert dans le respect et la prospérité. Il est donc possible de prendre cette fameuse devise suivant plusieurs niveaux de compréhension mais il n’est pas certain que Jigorô Kanô se soit limité à la pragmatique. Les deux devises du Jùdô « Seiryoku Zenyo » et « Jita Kyoei« , choisies par le fondateur, ne laissent aucun doute sur son souhait le plus profond d’élévation spirituelle de son Art.
La logique pédagogique :
La logique pédagogique du Gokyo a été expliqué dans la revue Kôdôkan de 1959. De part sa construction chaque mouvement est précédé et/ou suivi de sa enchaînement et/ou de sa contreprise. De plus, les mouvements sont classifiés aussi en fonction de la dureté de la chute qu’ils occasionnent et c’est pourquoi, entre autres, De Ashi harai et passé en première place lors de la ré-écriture du gokyo en 1920.
« Le Gokyo (Cinq Principes Techniques) et le Itsutsu No Kata (Cinq Principes énergétiques) représentent donc les deux aspects fondamentaux du Judo originel de Jigorô Kanô en liaison directe avec l’origine chinoise antique des Écoles Kito-ryu et Yoshin-ryu. Malheureusement il faut désormais admettre que le Gokyo originel, le Koshiki No Kata, le Itsutsu No Kata, qui forment respectivement le corps (Tai), la technique (Ghi) et l’esprit (Shin) du Judo classique ne sont que fort peu pratiqués et étudiés dans le Judo sportif. ou ne servent qu’à des démonstrations.
Dai-ikkyo (groupe1) | De-ashi-harai, Hiza-guruma, Sasae-tsurikomi-ashi, Uki-goshi, O-soto-gari, O-goshi, O-uchi-gari, Seoi-nage (8 techniques) |
Dai-nikyo (groupe 2) | Ko-soto-gari, Ko-uchi-gari, Koshi-guruma, Tsurikomi-goshi, Okuri-ashi-harai, Tai-otoshi, Harai-goshi, Uchi-mata (8 techniques) |
Dai-sankyo (groupe 3) | Ko-soto-gake, Tsuri-goshi, Yoko-otoshi, Ashi-guruma, Hane-goshi, Harai-tsurikomi-ashi, Tomoe-nage, Kata-guruma (8 techniques) |
Dai-yonkyo (groupe 4) | Sumi-gaeshi, Tani-otoshi, Hane-makikomi, Sukui-nage, Utsuri-goshi, O-guruma, Soto-makikomi, Uki-otoshi (8 techniques) |
Dai-gokyo (groupe 5) | O-soto-guruma, Uki-waza, Yoko-wakare, Yoko-guruma, Ushiro-goshi, Ura-nage, Sumi-otoshi, Yoko-gake (8 techniques) |
Arbitrage
Le 1 er combattant appelé met une ceinture rouge, le 2 ème combattant est le combattant blanc.
À l’international le 1 et combattant est en kimono blanc et le 2 ème en kimono bleu.
Rei : Saluez
Hajime : Commencez
Matte : Arrêtez
Ippon : « 10 » au tableau d’affichage, synonyme de victoire
Waza-Ari : « 1 » au tableau d’affichage, avantage fort
Waza-ari-awazate-ippon : combinaison de 2 Waza-ari, synonyme de Ippon
Les pénalités
1 Shido :1ère faute
2 Shido : 2ème faute
3 Shido : 3ème faute (equivaut a hansoku-make)
ou
hansoku-make direct : faute très grave
Osae-komi : début d’immobilisation
Toketa : fin d’immobilisation
Sonomama : ne bougez plus (au sol uniquement)
Yoshi : reprise du combat (au sol uniquement)
Soremade : fin (du combat, du cours)
Hansoku-make : disqualification
Fuzen Gashi : victoire par forfait
Kiken gashi : victoire par abandon
Hikiwake : égalité
Les parties du corps
Ashi : la jambe
Eri : le revers
Goshi : la hanche
Hara : le ventre
Hidari : gauche
Hiza : le genou
Judogi : kimono, tenue du judoka
Kata : l’épaule
Kubi : le cou
Migi : droite
Morote : à deux mains
Ne : au sol
Obi : ceinture
Seoi : dos
Sode : manche
Tachi : debout
Te : la main, le bras
Ude : bras
Waki : aisselle
Les positions
Gesa : en travers
Guruma : roue autour
Juji : croix
Kami : au-dessus
Mae : face
Shio : 4 coins
Soto : extérieur
Uchi : intérieur
Ura : opposé
Ushiro : derrière
Yoko : côté
Actions
Barai : balayer
De : avancer
Gaeshi : contre-attaquer
Gake : accrocher
Gari : faucher
Gatame : contrôler
Hane : percuter
Kansetsu : luxer
Maki : enrouler
Nage : projeter
Osae : immobiliser
Otoshi : tomber
Sabaki : esquiver, tourner
Tsukomi : pousser
Tsuri : pêcher
Shime : étrangler
Uki : flotter
Utsuri : déplacer
Exercices au judo
Nage Komi : répétition de chute
Randori : exercice libre
Shiai : compétition
Uchi Komi : répétition de mouvements
Yaku Suku Geiko : travailler souple, sans résistance
Autres mots
Do : voie
Dojo : lieu où l’on apprend le judo
Ju : souplesse
Ko : petit
Kumikata : saisie du kimono
Kuzure : variante
O : grand
Okuri : les deux
Sensei : professeur (maître)
Sutemi : sacrifice
Tatami : tapis de judo
Waza : technique